lundi 2 juin 2014

(emission 05/1978) LUTTE ANTITUBERCULEUSE TRAITEMENT RÉGULIER = GUÉRISON ASSURÉE - CHAOUKI-LI-QACENTINA

(emission 05/1978) LUTTE ANTITUBERCULEUSE TRAITEMENT RÉGULIER = GUÉRISON ASSURÉE 

Emission
05/1978
CARACTERISTIQUES
Dessinateur: BACHIR YELLES 
Valeur faciale: 0,60 DA 
Format: 42mm x 28,7mm 
Dentelure: 14 x 13 ½ 
Imprimeur: Enschede. 
Procédé d'impression:   . 
Document philatélique: Une enveloppe illustrée 1er jour à 1,00 DA affranchie à 1.60 DA avec oblitération 1er jour illustrée 
Vente 1er jour: Les Jeudi 05 et Vendredi 06 Octobre 1978.
- à la Recette Principale des postes d’ALGER.
- à la Recette Principale des postes de CONSTANTINE.
- à la Recette Principale des postes de LAGHOUAT.
- à la Recette Principale des postes d’ORAN. 
Vente générale: Le Samedi 07 Octobre 1978 dans tous les bureaux de poste. 
N° Y&T: 690 
N° AP : 358

LUTTE ANTITUBERCULEUSE TRAITEMENT RÉGULIER = GUÉRISON ASSURÉE
La tuberculose est une maladie infectieuse et contagieuse causée  par un microbe : le bacille de Koch. Elle peut atteindre n’importe quel organe, mais sa localisation pulmonaire est la plus fréquente et rend la maladie plus dangereuse pour la collectivité. La contagion est le plus souvent interhumaine et se fait à partir d’un tuberculeux pulmonaire cracheur de bacilles vers un homme sain.
Cette maladie est surtout fréquente dans les pays en voie de développement et pose généralement un problème de santé publique  majeur aux Etats. Dans ces pays, à haute prévalence tuberculeuse, il est indispensable d’assurer un traitement correct à tous les tuberculeux reconnus pour leur éviter de transmettre leur maladie à leur entourage familial  ou professionnel.
Avant 1945, il n’existait pas de traitement spécifique pour la tuberculose. On faisait appel à toute une série de traitements symptomatiques, généralement inefficaces. Mais depuis la découverte de la streptomycine par Wacksmann en 1945, l’homme a eu enfin à sa disposition un médicament capable  d’arrêter la multiplication du bacille de Koch et même de le tuer.
Après la streptomycine, nombre d’autres médicaments antituberculeux  efficaces ont été découverts. On les appelle aussi antibiotiques ou drogues antibacillaires. Pour permettre la guérison, ces médicaments doivent être administrés en tenant compte de règles médicales précises pour éviter les échecs consécutifs à des traitements insuffisants ou mal prescrits et  surtout pour éviter que les bacilles deviennent résistants aux drogues  administrées.
Le malade qui se traite n’est plus dangereux pour son entourage dès  les premières semaines de son traitement, il reste qu’il doit le poursuivre régulièrement pendant une année. C’est pourquoi la régularité du traitement est indispensable. Le traitement de la tuberculose est administré dans les dispensaires ou les  centres de santé. 
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(emission 06/1978) PÈLERINAGE - CHAOUKI-LI-QACENTINA

(emission 06/1978) PÈLERINAGE

Emission
06/1978
CARACTERISTIQUES
Dessinateur: MOHAMED TEMMAM 
Valeur faciale: 0,60 DA 
Format: 26mm x 45,2mm 
Dentelure: 11 ¾ x 11 ½ 
Imprimeur: Courvoisier. 
Procédé d'impression: Héliogravure. 
Remarque : Papier avec fragments de fils de soie. 
Document philatélique: Une enveloppe illustrée 1er jour à 1,00 DA affranchie à 1.60 DA avec oblitération 1er jour illustrée 
Vente 1er jour: Les Jeudi 26 et Vendredi 27 Octobre 1978.
- à la Recette Principale des postes d’ALGER.
- à la Recette Principale des postes de CONSTANTINE.
- à la Recette Principale des postes de LAGHOUAT.
- à la Recette Principale des postes d’ORAN. 
Vente générale: Le Samedi 28 Octobre 1978 dans tous les bureaux de poste. 
N° Y&T: 691 
N° AP : 359

PÈLERINAGE
Parmi les cinq piliers de l’Islam figure le pèlerinage à la Maison  sacrée d’Allah. C’est une obligation d’institution divine à la charge de tous les musulmans qui peuvent s’y rendre au moins une fois dans  leur vie.  Le pèlerinage est le rêve, la consécration de la vie religieuse du croyant.
On fait pour lui des sacrifices considérables bien qu’il ne soit strictement obligatoire que si l’on est en état de l’accomplir.
Le pèlerinage concrétise de façon solennelle la solidarité de l’Oumma (communauté musulmane). La période du pèlerinage débute le premier choual et se déroule  jusqu’à la fin de dhou el hidja.  Le souhait dans la vie de chaque musulman est d’aller en pèlerinage à la Kaâba. Les fondements de celle-ci ont été posés par  Ibrahim et son fils Ismaïl depuis des milliers d’années.
Souillée par le polythéisme, l’Islam l’a purifiée et l’a transformée en lieu saint  pour les musulmans. La Kaâba s’élève à 15 m. Sa surface est de 12 m x 10,1 m et est  soutenue à l’intérieur par trois piliers. Elle est revêtue extérieurement d’un tissu noir gravé en or.
A l’angle nord, se trouve la pierre noire posée par le Prophète (QSSSL) lorsqu’elle a été réaménagée par Qoreïch, soit cinq années  avant le Message. Les Karamathes l’avaient arrachée en 317 de  l’hégire et l’ont rendue en l’an 339 de l’hégire.
La Kaâba est entourée par la plus importante et la plus illustre mosquée  de l’Islam. Les derniers aménagements de cette mosquée furent entrepris par  Al Saoud depuis l’an 1375 de l’hégire. Elle peut accueillir 300 000 personnes et est dotée de 23 portes et 7 minarets. Au milieu de la mosquée se trouve Bir Zemzem. 
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dimanche 1 juin 2014

(emission 07/1978) ROUTE DE L’UNITE AFRICAINE - CHAOUKI-LI-QACENTINA

(emission 07/1978) ROUTE DE L’UNITE AFRICAINE

Emission
07/1978
CARACTERISTIQUES
Dessinateur: SID AHMED BENTOUNES 
Valeur faciale: 0,60 DA 
Format: 33mm x 48,5mm 
Dentelure: 11 ¾ x 11 ½ 
Imprimeur: Courvoisier. 
Procédé d'impression: Héliogravure. 
Remarque : Papier avec fragments de fils de soie. 
Document philatélique: Une enveloppe illustrée 1er jour à 1,00 DA affranchie à 1.60 DA avec oblitération 1er jour illustrée 
Vente 1er jour: Les Mercredi 01 et Jeudi 02 Novembre 1978.
- à la Recette Principale des postes d’ALGER.
- à la Recette Principale des postes de CONSTANTINE.
- à la Recette Principale des postes de LAGHOUAT.
- à la Recette Principale des postes d’ORAN. 
Vente générale: Le Samedi 04 Novembre 1978 dans tous les bureaux de poste. 
N° Y&T: 692 
N° AP : 360
ROUTE DE L’UNITE AFRICAINE
La réalisation de la route de l’Unité africaine qui n’était, depuis  longtemps,  qu’un rêve pour toute l’Afrique, n’est pas due au hasard et n’est pas un acte de circonstance.
C’est une conséquence naturelle de la politique pratiquée par le pouvoir révolutionnaire qui s’est  concrétisée à travers la liquidation des disparités régionales sur le  plan national et par le rapprochement, sous toutes ses formes, avec  les Etats africains.
Ainsi, le Sahara a bénéficié du premier programme spécial dans le cadre de la politique d’équilibre régional et a connu de nouvelles perspectives dans le domaine de la promotion de la vie sociale, réussissant ainsi à sortir de l’isolement pour contribuer à la vie de  toute la nation.
La route de l’Unité africaine tire sa véritable signification de la création d’une coopération réelle entre les pays africains dans les domaines culturels, commerciaux, industriels et agricoles dans le cadre de la complémentarité économique.
A cela s’ajoute la coopération  dans le but de promouvoir l’Afrique et de réaliser l’unité africaine. Cette route constitue donc l’une des plus grandes aspirations de la Révolution algérienne.
Les travaux de construction de la route de l’Unité africaine par les  jeunes du Service national ont débuté le 16 septembre 1971 en  présence du Président Houari Boumediène.
Le lancement s’est fait à  El Goléa avant d’arriver à In Salah, à travers les dunes de sable, sur  une distance de 420 km, puis allant vers Tamanrasset, la capitale du Hoggar, traversant la région de l’Erg où commencent les chaînes de montagnes et les cols difficiles, soit un total de 1 120 km.
Le premier tronçon, El-Goléa-In Salah, a été inauguré en juin 1973,  alors que le deuxième, In Salah-Tamanrasset, l’a été en date du  19 juin 1978.  A 60 km au sud de Tamanrasset, la route prend deux directions :
Vers les frontières du Mali (469 km) et vers celles du Niger (357 km).
La construction de la route de l’Unité africaine a été l’une des premières tâches confiées au Service national. Ajoutée aux autres, elle reflète l’engagement de notre jeunesse et sa participation effective au développement du pays et à l’édification du socialisme. 
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Par : CHAOUKI-LI-QACENTINA
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