jeudi 29 août 2013

(emission 13/1986) DANSES FOLKLORIQUES

(émission 13/1986) DANSES FOLKLORIQUES 
Emission
13/1986
CARACTERISTIQUES
Dessinateur: SID AHMED BENTOUNES
Valeur faciale: 0,80 - 2,40 et 2,80 DA
Format: 34,7mm x 42mm
Dentelure: 13 ½ x 13 ¾  
Imprimeur: Enschede.
Procédé d'impression: Offset
Document philatélique: Une enveloppe 1er jour illustrée à 1,00 DA affranchie à 7,00 DA avec oblitération illustrée 1er jour.
Vente 1er jour: Les Jeudi 20 et Vendredi 21 Novembre 1986 dans les Recettes Principales des postes D'ADRAR-ECH-CHELIFF- LAGHOUAT-OUM EL BOUAGHI-BATNA -BEJAIA-BISKRA-BECHAR-BLIDA-BOUIRA-TAMANRASSET- TEBESSA - TLEMCEN- TIARET- TIZI-OUZOU-ALGER-DJELFA-JIJEL-SETIF-SAIDA -SKIKDA-SIDI BEL ABBES-ANNABA-GUELMA-CONSTANTINE-MEDEA -MOSTAGANEM-M'SILA-MASCARA-OUARGLA - ORAN.
Vente générale: Le Samedi 22 Novembre 1986 dans tous les bureaux de poste.
N° Y&T: 879-880-881
N° AP : 551-552-553

  

DANSES FOLKLORIQUES
En traversant le temps et les âges, les danses populaires figurent  aujourd’hui parmi les composantes essentielles du patrimoine  culturel algérien. 
Témoin par excellence de l’art de vivre des hommes et de leurs  traditions, les danses populaires expriment de façon concrète et  intense les joies, les peines, les valeurs, les croyances et les modes  de vie des sociétés humaines. 
Dans notre pays, selon les régions et les époques, cette union du  mouvement du corps et de la musique qu’est la danse populaire  symbolise sans conteste le rapport des hommes au groupe, à la  famille, à la nature et aux actes fondamentaux et quotidiens de  l’exercice. 
Ainsi, les rythmes, la gestuelle, les costumes et les couleurs de nos  danses populaires nous ont transmis un message vivant sur la  manière d’être et d’agir de nos ancêtres. 
En groupe, en duo ou individuelles, les danses populaires  algériennes présentent une multitude de figures et d’expressions  corporelles dont la variété va de pair avec la diversité de notre  folklore et la densité de notre fonds musical. L’on retrouve dans ces  danses toutes les valeurs de la société algérienne qui sont autant de  thèmes qui caractérisent ces danses dont la valeur esthétique n’a  d’égal que le spectacle chatoyant et l’harmonie heureuse où  viennent se fondre les costumes, la musique et les couleurs.
Par la simplicité de leurs gestes, la gaieté de leurs mouvements, la  fraîcheur des instruments, la richesse de la mélodie, les danses  populaires algériennes représentent des fresques de choix d’une rare  qualité pour tous ceux qui considèrent la danse comme mouvement  à la fois naturel et culturel de l’homme.  Aujourd’hui, afin de conserver et d’enrichir ce patrimoine culturel,  les pouvoirs publics ont mis en œuvre une série de mesures visant  à sauvegarder cet élément important de notre identité culturelle.  Les festivals, les concours, les échanges, les rencontres sont  devenus autant d’occasions pour valoriser et faire connaître les  danses populaires d’Algérie.
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P.T.T
Par : CHAOUKI-LI-QACENTINA

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mercredi 28 août 2013

(emission 14/1986) FLORE

(émission 14/1986) FLORE 
Emission
14/1986
CARACTERISTIQUES
Dessinateur: KRIM  KAMARDINE
Valeur faciale: 0,80 - 1,40 – 2,40 et 2,80 DA
Format: 23mm x 32,5mm
Dentelure: 13 ¼ 
Imprimeur: Heraclio.
Procédé d'impression: Héliogravure
Document philatélique: Une enveloppe 1er jour illustrée à 1,00 DA affranchie à 8,40 DA avec oblitération illustrée 1er jour.
Vente 1er jour: Les Jeudi 18 et Vendredi 19 Décembre 1986 dans les Recettes Principales des postes D'ADRAR-ECH-CHELIFF- LAGHOUAT-OUM EL BOUAGHI-BATNA -BEJAIA-BISKRA-BECHAR-BLIDA-BOUIRA-TAMANRASSET- TEBESSA - TLEMCEN- TIARET- TIZI-OUZOU-ALGER-DJELFA-JIJEL-SETIF-SAIDA -SKIKDA-SIDI BEL ABBES-ANNABA-GUELMA-CONSTANTINE-MEDEA -MOSTAGANEM-M'SILA-MASCARA-OUARGLA ET ORAN.
Vente générale: Le Samedi 20 Décembre 1986 dans tous les bureaux de poste.
N° Y&T: 882-883-884-885
N° AP : 554-555-556-557

 
   
FLORE
NARCISSE Narcissus tazetta
C’est une plante vivace, bulbeuse, pouvant atteindre plus de 35 cm  de hauteur, à tige plus ou moins comprimée et à longues feuilles  basales, planes, d’un vert bleuté.
Ses fleurs, issues d’une spathe  membraneuse persistante, comportent un périanthe à long tube, six  divisions blanchâtres ou jaunes et une couronne d’un jaune vif. 
De la famille des amaryllidacées, le narcisse est indigène des régions  méditerranéennes où il est souvent cultivé pour ses qualités  odorantes et ornementales.
Sa floraison varie de décembre à avril. 
Il est très abondant aux alentours d’Alger, surtout à l’ouest. 
IRIS Iris unguicularis
L’iris violet, à taches blanches marquées de jaune et de violet foncé,  compte parmi les plus belles fleurs d’hiver et du début de printemps  en Algérie. 
C’est une plante à rhizome, formant des touffes très denses. 
Ses fleurs, issues de spathes vertes, se caractérisent par un périanthe  à long tube et des pétales longuement onguiculés. 
De la famille des iridacées, l’iris est très commun dans le Tell algéroconstantinois.  Son rhizome peut être utilisé en parfumerie. 
CAPRIER Capparis spinosa
Le câprier est un petit arbuste épineux, méditerranéen, qui paraît  insignifiant jusqu’au moment où ses fleurs déploient de grands  pétales crémeux autour d’un faisceau d’étamines pourprées,  révélant une beauté exceptionnelle, malheureusement très éphémère. 
Ses rameaux étalés, atteignant plus de 1 m de long, présentent  des feuilles glauques, persistantes, un peu charnues et de forme ovale. 
Ses fleurs pédonculées, solitaires et axillaires n’éclosent qu’à la fin du  printemps ou au début de l’été. De la famille des capparidacées, le  câprier est commun en Algérie.
Ses boutons floraux ou câpres  servent de condiment. 
GLAÏEUL Gladiolus segetum
Le glaïeul est une plante printanière, ornant de ses magnifiques  épis fleuris de vastes étendues de cultures et champs de blé. 
C’est une plante à tubercule bulbeux.
Sa tige, atteignant parfois plus  de 80 cm de long, porte vers la base de longues feuilles engainantes  et pointues.
Ses fleurs, en épis lâches, sont peu nombreuses et plus  ou moins tournées d’un même côté. Elles se distinguent par leur  périanthe rose vif et leurs pétales irréguliers.
De la famille des iridacées,  le glaïeul est commun dans le Tell et les Hauts Plateaux.

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P.T.T
Par : CHAOUKI-LI-QACENTINA
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dimanche 25 août 2013

PISCINE DE SIDI M'CID (CONSTANTINE)

PISCINE DE SIDI M'CID (CONSTANTINE)
Un lieu mythique
Ce joyau, qui ne souffrait d’aucune comparaison, a longtemps profité aux habitants du Vieux rocher (toutes catégories confondues), autant qu’aux générations de nageurs qui se sont relayées dans le bassin olympique, plusieurs fois témoin de records reconnus à l’échelle de l’Afrique du Nord et de l’Europe.
La piscine de Sidi M’cid était, durant des siècles et jusque dans les années 1980, un véritable sanctuaire, un lieu symbolique où se pratiquaient des rituels dédiés au saint patron éponyme. C’était aussi un lieu de villégiature pour la population. Lové au creux des falaises vertigineuses du Rhummel, dans le cadre verdoyant de la vallée de Sidi M’cid, une bourgade située à mi-chemin entre le chef-lieu de wilaya et la commune de Hamma Bouziane (à 9 km de la ville de Constantine), ce joyau qui ne souffrait d’aucune comparaison, a longtemps profité aux habitants du Vieux rocher (toutes catégories confondues), autant qu’aux générations de nageurs qui se sont relayées dans le bassin olympique, plusieurs fois témoin de records reconnus à l’échelle de l’Afrique du Nord et de l’Europe.
La cascade d’eau chaude jaillissait (et jaillit toujours mais à moindre débit) du rocher, à 3 m de hauteur dans une piscine naturelle de 21 m de long sur 7 m de large et 1,15 m de profondeur. Cette eau sort à une température d’au moins 26°. Pour contenir l’eau de la piscine, à 7 m du rocher, on a aménagé un petit muret pour en réguler le niveau. L’eau est évacuée dans un ancien bassin romain qui a résisté à l’usure du temps. Pendant la présence française, cette piscine romaine de forme semi-circulaire de 37 m de diamètre et d’une profondeur de 1,20 m à 1,50 m, a été restaurée et l’espace compris entre les deux bassins a été aménagé en cabines pour se déshabiller.
Au cours des années 1930, une piscine olympique a été construite afin de recevoir les championnats de France. Elle est alimentée, elle aussi, par la cascade d’eau chaude. Hiver comme été, on se baigne à Sidi M’cid, car la température de l’eau, même lorsqu’il neige, n’est jamais inférieure à 22°. La source alimente d’abord un petit bassin appelé «La petite». Ce bassin est destiné aux enfants, sa profondeur n’excède pas un mètre. 
D’une conception exceptionnelle de par sa position naturelle sous le rocher, ce bassin est très sollicité par les nageurs de tous âges. Cependant, son débit a singulièrement diminué du fait des travaux entrepris durant les années 1980 par une société étrangère, qui a dévié le cours de la source. D’ailleurs, il a fallu procéder à un pompage d’eau pour pallier ce déficit. Un peu plus en avant, l’on trouve le grand bassin, dénommée «Brimo», déformation sans doute du mot «primo», qui accueille pratiquement tous les jeunes qui s’amusent à faire des distances. Sa partie basse a été restaurée dans le respect du matériau originel. Mieux encore, tout autour du bassin l’on a reconstitué quelques pièces de poteries antiques témoignant des diverses civilisations qui se sont succédé sur les lieux. Tout autour, le cadre est tout aussi idyllique de par son pittoresque qui s’offre aux yeux des visiteurs, il est entouré de l’impressionnant rocher qui abrite le monument aux morts.
En faisant un petit crochet à droite, l’on arrive au bassin olympique situé en contrebas du même rocher, un endroit plein d’histoire, de trophées et de titres, où une flopée de nageurs ont marqué de leur empreinte une belle époque, à l’instar des Hamlaoui, Rghida, et autres Chanderli. Il faut noter qu’en entrant dans ce site en forme de cuvette entouré d’une flore impressionnante, c’est d’abord le Palmarium qu’on aperçoit, un restaurant qui accueillait jadis beaucoup de convives et où se déroulaient des soirées exceptionnelles. Mais c’est une autre histoire qui s’est achevée dans l’indifférence la plus totale. Ainsi, ce dernier qui se trouve actuellement dans un piètre état, lugubre et infect, va faire l’objet d’une restauration. Pour les anciennes générations (aujourd’hui septuagénaires et octogénaires) ces lieux ont marqué leur jeunesse, puisque, au même titre que les salles de spectacles et de cinéma, l’ambiance y était extraordinaire. Pour l’anecdote, un vieux nous rapporte à ce sujet : «Même les Mozabites fréquentaient la piscine presque au quotidien, et ce, du printemps à l’automne.
Ils étaient les premiers à venir à partir de 4h du matin pour rentrer avant 7h et entamer ainsi leur travail dans de bonnes conditions physiques. Nous, on avait toute la journée devant nous.» Il nous relate, non sans émotion, que les compétitions qui s’y déroulaient attiraient beaucoup de gens qui suivaient assidûment les nageurs de l’époque. On y pratiquait même le water-polo, un sport que beaucoup ignorent maintenant. Actuellement, il a été décidé de raser cette piscine olympique suite à un rapport d’expertise qui y a décelé des fissures. D’importants travaux sont en cours pour construire un autre bassin olympique conforme aux normes requises, selon le directeur de l’ODEJ, Mohamed Leulmi. Contacté par nos soins, il nous confie que d’importants travaux sont prévus dans le cadre de l’événement «Constantine, capitale arabe 2015».
Rituels païens et légendes millénaires de Sidi M’Cid
Notre interlocuteur ne s’empêchera pas de nous apporter la touche historique, disant : «Il faut savoir que cet espace, bien avant la construction de ces bassins au début du XXe siècle par le maire Morinot, constituait une sorte de station pour les caravaniers qui y commerçaient. Cette piscine s’appelait ‘‘Hafrat Sanhadja’’, la tribu berbère des Sanhadja venue des Aurès, y ayant trouvé son compte. La source thermale qui alimentait les bassins de l’époque offrait à ces troqueurs un lieu de détente inégalé, au point où elle prit leur nom : Hafrat Sanhadja.»
Et de poursuivre : «Bien avant, cet endroit avait longtemps fasciné toutes les civilisations, d’où le mausolée dédié à Jupiter, dieu romain représenté par un aigle tenant une plume dans ses griffes. Ce lieu était un concentré de bassins (Sidi Maïmoun) caractérisé par l’architecture phénicienne. D’ailleurs les Phéniciens en firent un lieu de culte voué au saint patron de la ville, Sidi M’cid, un homme noir, qui y fut enterré (du côté de l’actuel CHU de Constantine).» Notre interlocuteur nous fera remarquer qu’une gravure rupestre a été déterrée à la Casbah représentant le rituel de la «nechra», l’on y voit l’égorgement d’un coq, une tradition très lointaine perpétuée par certaines familles constantinoises. Présentement, c’est la zaouïa des Ouasfane, notamment «Dar Haoussa et Bernou» qui ont pris le relais.
Le directeur de l’ODEJ poursuit, non sans fierté, que du temps de la Numidie, Mastanabal, fils de Massinissa, avait réussi une belle performance sportive lors des Jeux panathéniens, ce qui lui permit d’avoir une stèle à Athènes, qui existe toujours. Nous saurons ainsi  qu’une fresque se trouve au musée Cirta qui retrace tout un pan de l’histoire de ces lieux.
Aménagements prévus
L’on a constaté durant le mois de Ramadhan et cette période estivale, une forte affluence à la piscine. Les familles s’en donnent à cœur joie dans les deux bassins. A ce propos, notre interlocuteur nous informe qu’ils ont accueilli plus de 40 000 visiteurs depuis le mois de juin en organisant des soirées familiales avec un concept emprunté à celui de Paris («journées de plage à Constantine»). «L’ambiance était magnifique», a-t-il noté.
Pour les aménagements prévus, le directeur de l’ODEJ nous fera part de la construction d’un arc de triomphe à l’entrée du site. Selon lui, le bassin olympique comportera 8 couloirs avec toit amovible pour accueillir toutes les compétitions officielles. Notons enfin que la direction a prévu un système de réchauffement de l’eau des bassins à une température de 29° en hiver. Par ailleurs, il est prévu la réalisation d’une auberge de jeunesse, toujours en conformité avec la nature du site. Le transport reste un handicap pour ces badauds qui peinent à s’y rendre et surtout à rentrer chez eux. Côté sécuritaire, il n’a été signalé aucun incident notable, fait qui incite tout ce beau monde à fréquenter ces lieux en toute quiétude.
N. Benouar
El Watan
Le 25.08.13

samedi 24 août 2013

LE SQUAT DES SURFACES PIETONNES SE BANALISE

LE SQUAT DES SURFACES PIÉTONNES SE BANALISE 

En dépit des instructions interdisant l’exposition et l’étalage de marchandises à l’extérieur des magasins, des commerçants continuent de squatter les surfaces destinées à la circulation piétonne, c’est-à-dire les trottoirs.
Le phénomène est surtout observé au niveau des commerces implantés dans la vieille ville. Cette pratique illégale s’apparente à du mépris envers ses concitoyens. «Ces marchands sont des égoïstes qui ne pensent qu’à amasser de l’argent, même si pour cela ils génèrent des bouchons inextricables et même des bousculades ; comment peut-on circuler à pied si le moindre espace est occupé par toutes sortes de produits ?» s’offusque un passant qui n’arrivait pas à s’extirper de la foule à cause d’une quantité appréciable de denrées alimentaires exposée au-delà du seuil de ces boutiques. Le pauvre piéton ne sait plus où marcher, surtout que le peu qui reste de la chaussée est complètement dégradé, avec des pans entiers de pavés arrachés et des trous béants qui menacent de les engloutir. «Voilà à quoi on est réduit à cause de marchands qui imposent leur loi. Si j’avais des ailes j’aurais volé», s’impatiente un autre passant. D’aucuns se posent les questions suivantes : «Qui peut appliquer les textes de loi face à ce genre de situations qui pénalisent le citoyen ? Où en est la direction du commerce dans tout cela ?»
L’incivisme fait rage, et on laisse faire, comme si c’était la loi de la jungle ! En plus du problème du squat illégal d’espaces piétons, des produits alimentaires (eaux minérales, huile, etc.) il y a le risque sanitaire, car ces denrées sont exposées à longueur de journée, à ciel ouvert, livrées à la chaleur. Que font dans ce cas les services du contrôle d’hygiène et de la santé publique ? Il est bien connu que la plupart des produits alimentaires s’altèrent au contact de la chaleur. Assurés de l’impunité totale, ces commerçants indélicats continuent de sévir, faisant de Constantine, notamment la Médina, un capharnaüm. Ont-ils le droit de dénaturer  cette ville qui faisait la fierté de ses habitants ? Il faut encore supporter l’audace de ces marchands qui «prient» les passants de faire attention à ne pas faire tomber les étals. «Regardez où vous marchez», crie l’un d’eux à l’adresse d’une dame. A quand cette situation ?
Yousra Salem
El Watan
Le 24.08.13

vendredi 16 août 2013

Timbres d'Algérie 1987

Timbres d'Algérie 1987



N° Y&T : 886
N° Y&T : 887

 
N° Y&T : 888
N° Y&T : 889
 
N° Y&T : 890
N° Y&T : 891

 
N° Y&T : 892
 
N° Y&T : 893
N° Y&T : 894

N° Y&T : 895

N° Y&T : 896

N° Y&T : 897

N° Y&T : 898

 
N° Y&T : Bloc et Feuillet 06

N° Y&T : 899

N° Y&T : 900_901

 
N° Y&T : 902
 
N° Y&T : 903
N° Y&T : 904

 
N° Y&T : 905
N° Y&T : 906
 
N° Y&T : 907
N° Y&T : 908

 
N° Y&T : 909
N° Y&T : 910
N° Y&T : 911
N° Y&T : 912

N° Y&T : 913

 
 
N° Y&T : 914
N° Y&T : 915

 
N° Y&T : 916
N° Y&T : 917
 
N° Y&T : 918
N° Y&T : 919

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