vendredi 17 janvier 2014

(emission 01/1983) ORFÈVRERIE DES XVIIIÈME ET XIXÈME SIÈCLES - CHAOUKI-LI-QACENTINA

(émission 01/1983) ORFÈVRERIE DES XVIIIÈME ET XIXÈME SIÈCLES
Émission
01/1983
CARACTÉRISTIQUES
Dessinateur: MOHAMED TEMMAM
Valeur faciale: 0,50 – 1,00 - 2,00 DA
Format: 25mm x 30,4 et 30,4mm x 25mmmm
Dentelure: 11 ¼     
Imprimeur: Courvoisier.
Procédé d'impression: Héliogravure.
Document philatélique: Une enveloppe 1er jour illustrée à 1,00 DA affranchie à 4,50 DA avec oblitération illustrée 1er jour.
Vente 1er jour: Les Jeudi 10 et Vendredi 11 Février 1983 dans les Recettes Principales des postes D'ADRAR-ECH-CHELIFF- LAGHOUAT-OUM EL BOUAGHI-BATNA -BEJAIA-BISKRA-BECHAR-BLIDA-BOUIRA-TAMANRASSET- TEBESSA - TLEMCEN- TIARET- TIZI-OUZOU-ALGER-DJELFA-JIJEL-SETIF-SAIDA -SKIKDA-SIDI BEL ABBES-ANNABA-GUELMA-CONSTANTINE-MEDEA -MOSTAGANEM-M'SILA-MASCARA-OUARGLA - ORAN.
Vente générale: Le Samedi 12 Février 1983 dans tous les bureaux de poste.
N° Y&T: 776-777-778
N° AP : 446-447-668


 

ORFÈVRERIE DES XVIIIÈME ET XIXÈME SIÈCLES
En Algérie, l’orfèvrerie constitue une composante majeure de  l’artisanat. Diversité des formes, richesse des matériaux, densité de la décoration et beauté des couleurs se conjuguent harmonieusement au fil du temps et des régions pour conférer à l’orfèvrerie algérienne une dimension esthétique atteignant un haut degré de raffinement. 
De l’est à l’ouest, du nord au sud de notre pays, l’orfèvrerie  chemine et s’insère à travers les actes les plus courants de la vie quotidienne pour enfin briller de mille feux lors des événements les plus marquants des familles et de la société. Si l’or occupe une place  importante dans l’orfèvrerie algérienne, l’argent est le matériau le plus répandu et dont l’usage reste le plus large.
De par sa gamme très  étendue d’objets et d’ouvrages, elle revêt, tour à tour, les formes les  plus simples de l’utilité domestique et sociale et constitue un signe  important et une source véritable de richesse, une réserve de valeur  et une partie appréciable du patrimoine individuel et familial.
Des  objets fabriqués par des artisans dont l’habileté et la dextérité n’ont  d’égales que la finesse et la délicatesse de leurs ouvrages. 
Saphir, émeraude, rubis, diamant, corail, émail et surtout les perles venaient alors décorer les bijoux en or et en argent travaillés délicatement par l’orfèvre qui se surpassait en imagination et en créativité. L’ivoire, la nacre, l’ambre étaient également utilisés et  montés sur des bijoux de valeur. 
L’orfèvrerie algérienne demeure encore vivace et ni les formes  modernes de l’art ni les nouvelles normes esthétiques n’ont pu la  supplanter dans la société algérienne contemporaine qui lui accorde  toujours une place de choix à la mesure de sa richesse éternelle et  de sa beauté universelle.
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P.T.T
Par : CHAOUKI-LI-QACENTINA
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